En un mot comme en cent. 5 décembre 2021, Aujourd'hui masques et attitudes
Comment a-t-il pu prévoir, Raymond Q, que j’assisterais ce jour au concert d’une chorale dont les membres porteraient des masques ? Et pour les attitudes, c’est bien la première fois que je joue aux échecs sur mon ordi portable dans la voiture ! C’était à Gévezé, en attendant que la pluie cesse et que j’aille visiter le lieu puis écouter le retour de Mélimélodies.
En un mot comme en cent. 6 décembre 2021, Aujourd'hui un secret
En un mot comme en cent. 30 novembre 2021, Aujourd'hui le prix à payer
Le prix à payer pour tout le travail préparatoire, pour toutes les incertitudes préalables à la tenue d’un concert de quatre heures, c’est, chez moi, un lumbago signifiant que je commence à en avoir plein le dos !
J’envie le papillon proustien (même si, du fait qu’il raconte les lumières qu’il a vues à dame Céleste, je me demande s’il ne serait pas plutôt en fait un éléphant Babarien !).
En un mot comme en cent. 1er décembre 2021, Aujourd'hui en retard
En retard sur ce qui était prévu, forcément ! Un marathon Brassens avec 100 chansons en quatre heures, c’était une utopie ! Mais 61, c’est déjà pas mal, surtout que la salle était pleine de public, que tous les musiciens et conteurs prévus étaient là et qu’on a eu l’impression de vivre des grands moments avec tout ce monde qui chantait ou disait les mots du Sétois et ceux de nos amis les poètes qu’il a mis en musique.
En un mot comme en cent. 2 décembre 2021, Aujourd'hui la beauté à cet endroit précis
En un mot comme en cent. 3 décembre 2021, Aujourd'hui une coupe franche
Dans les quatre heures d’enregistrement du marathon que je suis en train de nettoyer ? «Les Passantes». C’est une chanson qu’il fallait chanter tout seul.
Et aussi « La Chasse aux papillons » (proustiens?) : le public s’est trompé sur le deuxième pont et sur le finale et a embrouillé les choristes.
Tout le monde croit que c’est facile Brassens ! Eh ben, non !
Une coupe franche positive ? « Boulevard du temps qui passe ». Ou « La Rose, la bouteille et la poignée de main » dit par Jean-Michel.
Krapov_et_Le_Bichon - Boulevard_du_temps_qui_passe (Georges Brassens)
En un mot comme en cent. 26 novembre 2021, Une bonne chose de faite
La mise en abyme, c’est encore plus drôle quand c’est involontaire ! Merci aux joies de l’informatique et à la gentillesse de Dame Licorne !
Courriel de Joe Krapov du 26/11/2021, 15:10
Sujet : Participation au jeu n° 70 de Filigrane Joe Krapov - 99 dragons : exercices de style. 67, Disparition du n° 5
Texte : Bonjour Dame Licorne
je voulais juste m'assurer que tu avais bien reçu ce message et qu'il n'a pas été publié car envoyé hors délais.
Ce serait bête qu'il soit parti dans tes indésirables (ce que je suis peut-être, d'une certaine façon ) ;-)
J'essaierai d'être plus réactif le mois prochain ! ;-)
Bon week-end à toi !
Réponse de Dame Licorne du 26/11/2021, 19:47
Bonjour Joe !
Eh bien, tu as bien fait...
Je n'avais pas reçu ton mail
(il n'est ni dans la boîte de réception, ni dans les indésirables, ni dans la corbeille...)
Par quel mystère s'est-il "évaporé"...????
Je ne sais pas...
Mais pour un texte sur le thème de la "disparition"...
c'est quand même trop fort !!!! :-)