Rue de la Psalette à Rennes le 2 février 2014 (1)
Allons bon ! Je ne me sentais pas très inspiré par le thème du prochain défi du samedi : "carrefour". Et puis voilà qu'à publier ici un peu de la moisson photographique de dimanche dernier, je me suis mis à raconter à nouveau la seule histoire que je connaisse à propos de cette statuette et de ses deux voisines. Du coup j'ai effacé mon billet, je l'ai mis de côté pour le publier samedi et en lieu et place de ce récit je vous gratifie d'une chanson d'Oldelaf que je mentionnerai aussi dans ma contribution n° 284 (Ah les fous , eh !).
Rue de la Psalette à Rennes le 2 février 2014 (2)
J'ose espérer que ce graffiti (en langue arabe ?) n'est pas offensant pour la religion catholique.
Il a été peint sur une porte à l'arrière de la cathédrale
Si tel était le cas, je retirerais cette photo vite fait.
Cette situation illustre en tout cas de manière éclairante le proverbe-gazouillidiot du jour :
"L'incompréhension a plus d'un tour de Babel (Oued) dans son sac !"
Rue de la Psalette à Rennes le 2 février 2014 (3)
Rue de la Psalette à Rennes le 2 février 2014 (4)
Entre la lourdeur syntaxique et le mépris de l'orthographe, je n'ai pas choisi mon camp.
Ou plutôt si : j'ai choisi de traduire dans un langage républicain et respectueux le dialogue des deux protagonistes. Cela pourrait donner ceci :
- Nos enfants peuvent-il être heureux dans le monde actuel (dans la société actuelle) ?
- Croyez-vous vraiment que le même problème ne s'est pas posé pour les enfants d'hier ?