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Mots et images de Joe Krapov

25 mars 2024

La Famille Mugnier. 6, Etienne, le frère aîné, sa femme et ses enfants

 

Le jeudi 27 décembre 1894 à Alby-sur-Chéran (Haute-Savoie), non loin de Chapeiry, son village natal, Etienne Mugnier se marie avec Marie Prunier née le 16 mai 1872 à Rumilly.

Marie est modiste. Elle est la fille de Jean Pierre Prunier, cardeur et de Françoise Vergain. Elle a un frère, Claude-Marie-François né en 1883 et une soeur, Louise Joséphine née en 1886.

Un des témoins du mariage est Jean PRUNIER, né en 1853.

Etienne et Marie auront deux filles :

Francia Joséphine MUGNIER 1895-1969
et Marcelle Jeanne MUGNIER 1899-

 

Marie est décédée le 7 juillet 1954.

 

 

 

A vous de jouer, maintenant. Si vous pensez que cette photo ci-dessous est celle d'une des deux petites filles de ce couple, tapez 1... 

 

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24 mars 2024

Wellerman / Divers artistes

 

Avec huit milliard de gens qui font des choses et qui en parlent tous en même temps sur internet, on est forcément obligé de passer à côté de certains phénomènes dont on n'imagine même pas l'ampleur. Exemple avec ce groupe de métal helvète qui joue avec cornemuse et vielle à roue, Eluveitie (voir le billet précédent).

 

Autre exemple ce jour où j'ai exploré Youtube à la recherche de versions utilisables de "Tous les marins sont des chanteurs", une bluette popularisée (et écrite ?) par François Morel sur son album homonyme sous-titré "François Morel chante Yves-Marie Le Guilvinec".

 

Je l'ai entendue pour la première fois dans un bout de vidéo du groupe "Noyez-les" que l'amie Françoise m'avait envoyé. Il y avait aussi dans le fichier zippé une autre chanson qui me plaisait bien. Je l'ai retrouvée. Elle s'appelle "Wellerman". C'est un "sea shanty" (chant de marin) australien du XIXe siècle. Il paraît qu'il a cartonné mondialement pendant le confinement sur Tiktok (Tiktok ? Cékwastruc demande Zazie du tac au tac).

 

Et de fait on en trouve des tas de versions plus ou moins bonnes ou plus ou moins kitsch. Je vous laisse faire l'expérience !

Mort de rire ! Il faut absolument que j'écrive une traduction-adaptation-trahison de cette chanson et que je la refile à mes M'A2R1 d'O douce !

23 mars 2024

La Jument de Michao dans la caverne du roi de la montagne ! / Eluveite

 

Dans ma recherche de pépites drolatiques de Gérard Jaffrès, je me suis retrouvé cette semaine sur le site "Bide et musique" qui signale bon nombre de ringardises de la chanson de variété francophone. Il n'y a là que deux titres du bon Gérard dont "La Jument de Michao". Mais si, vous connaissez ce tube celtique ! C'est celui dont les paroles disent  : "J'ai vu le loup, le renard et la belette".

 

Dans les commentaires j'apprends que ce tube de Tri Yann des années 1970 a été repris en mode "métal" par un groupe nommé Eluveite. Ce sont des Suisses. Les trois Jean, dont il ne reste que deux, vont se retourner dans leur tombe en écoutant ça !

Evidemment, dans les recommandations de M. Youtube, j'ai rebondi sur celle qui m'emmenait voir ce même groupe confronté à un bassoniste dans l'émission "Rock the classics". Le principe est de demander à des rockers d'interpréter un morceau du répertoire classique, en l'occurrence ici "Peer Gynt" d'Edvard Grieg,  en compagnie d'un musicien d'orchestre symphonique.

 

Le documentaire est un peu long, même si intéressant et surréaliste - la tête du musicien classique ! - et le résultat final est tronqué par des commentaires. J'ai fini par trouver la version complète du morceau, décoiffant lui aussi mais que j'aime beaucoup !

22 mars 2024

HERE OUIGO ! HERE OUIGO NULLE PART !

 

Jules Verne, l'homme du « Voyage en ballon » mettrait aujourd'hui auprès de SNCF-Connect (Robot le Conquérant !) beaucoup plus de temps à acheter son billet Nantes-Amiens que ne dure ce trajet !

 

Je ne suis pas ici pour raconter ma vie mais pour ma part j'ai passé presque deux heures à passer commande d'un billet Rennes-Paris pour le lundi 26 février avec retour le vendredi 1er mars. J'ai aussi commandé un Paris-Lyon avec retour aux mêmes dates.

 

J'ai commencé par tiquer. Il est plus économique d'aller de Paris à Lyon que de Rennes à Paris ou que de Paris à Rennes !

 

Après j'ai tiqué - de quai ! - sur le billet lui-même. J’ai imprimé sans problème mes e-billets Paris-Lyon aller et retour. J'ai pu imprimer également le Rennes-Paris mais pas le Paris-Rennes. En réponse à mon clic sur « imprimer vos billets » on me disait qu’il serait envoyé dans ma boîte mail quatre jours avant le départ. OK ! C’est nouveau, ça vient de sortir, on va attendre !

 

Le jeudi, exactement comme la pas sereine sœur Anne, je ne vois rien venir. C'est pourquoi le vendredi matin je file à la gare demander quoi et qu'est-ce que ce micmac moche.

 

C'est là que je suis tombé sur les deux cerbères qui vous empêchent maintenant d'entrer dans la salle des guichets et vous interdisent surtoput d'aller embêter celui de leurs collègues qui a la chance d'être assis derrière l’hygiaphone.

 

 

C'est pour ça à mon avis qu'ils sont désagréables, ces deux-là, les vigiles. Eux sont obligés de travailler debout alors que les autres, les assis, ne fichent plus rien.

 

- Kèsksékvouvoul ? me demande le barbu antipathique tandis que Miss Wagon réfrigéré 2024 me regarde comme si j'étais aussi mal vêtu que Gérard Manvussa ou aussi malotru que Gérard Depardieu.

 

- Je n'arrive pas à imprimer mon billet aller-retour Rennes-Paris ! dis-je en lui donnant la référence du dossier.

 

- Donnez-moi ça ! dit-il en m'amenant vers une tablette numérique. Il rentre les données, il me réimprime les aller Rennes-Paris.

 

- Ah ben oui, admet-il, un peu perplexe, il n'y a pas les retours !

 

- Oui. Chez moi ça me met que je les aurai quatre jours avant le départ mais on est vendredi et je pars lundi !

 

- Ah mais je comprends, ricane-t-il comme soulagé. C'est un Ouigo !

 

- Et alors ?

 

- Et alors Ouigo... c'est pas nous !

 

- Comment ça, c'est pas vous ? C’est bien la SNCF qui me vend ce voyage, non ?

 

- Non, c’est Ouigo. Ouigo, c'est tout par internet ! C'est comme le low-cost avec les avions. C'est moins cher mais c'est tout par téléphone !

 

- Mais alors comment je fais pour voyager sans billet ? Il y a une agence Ouigo quelque part ?

 

- Puisque que je vous dis que c'est tout par internet !

 

- Mais c'est complètement con ! Je vous achète un titre de transport et je repars sans rien ?

 

Je sens que je l'énerve plus, ce faux-cul, que je ne m'énerve moi-même et je vois le coup que Miss Wagon réfrigéré 2024 va me sortir de son agence à coup de pompes... dans le vrai-train !

 

Je sors donc dépité de ce lieu de non-assistance à voyageur en détresse et, pour me consoler, je vais photographier les graffs du boulevard du Colombier.

 

« Il y a plus d'humanité dans l’oeil d’un chien peint sur un graff que dans celui d'un vigile de gare quand il remue la queue » comme n'a pas dit Pierre Desproges.

 

 

***

 

Le samedi je me reconnecte et j'apprends que mes billets me seront envoyés le lundi 26. Oui mais à quelle heure ? Chez Ouigo ils ne connaissent pas l'aller-retour si l’aller est fait avec SNCF ? C’est inouï, ce truc, comme on dit chez TGV !

 

Le lundi 26, jour du départ, à 7 h les billets sont là ! Je les imprime ! On peut partir rassurés !

 

***

 

 

Le mardi soir à Lyon Marina Bourgeoizovna reçoit un SMS bizarre : « Votre train de retour est annulé ».

 

Ah bon ? On va voir dans ma messagerie pour comprendre : rien, pas de message de Ouigo.

 

- Ça doit être un message piraté ! me dit-elle.

 

Le jeudi, par sécurité, on reconsulte ma messagerie. Aucun message n’est là pour confirmer une quelconque annulation.

 

***

 

 

Vendredi 1er mars, 12 h, gare Montparnasse. Le train Ouigo de 12 h 57 à destination de Quimper vient de s’afficher voie 4. On s'y rend, on présente nos billets pour embarquer. Gros bip sonore ! Grande croix rouge sur le scanner de Monsieur et Madame Ouigo les Kings of the control.

 

- Qu'est-ce qui se passe ?
- Votre train est annulé
- Comment annulé ? Mais il est là, à quai !
- Oui mais il ne dessert pas les gares de Le Mans, Laval et Rennes
- Alors qu'est-ce qu'on doit faire ?
- Vous allez être remboursé mais il faut que vous alliez acheter un autre billet pour prendre un autre train pour Rennes !

 

On est un bon paquet de Lébézékontévous qui allons faire la queue avec l’espoir qu’il y ait une personne derrière l’hygiaphone.

 

A l’entrée de la salle des guichets, les vigiles parisiens semblent plus cools qu’à Rennes. Ça doit cacher quelque chose. Bingo : ici il n’y a pas d’hygiaphone ! On nous positionne devant une tablette et on nous dit "démerdez-vous tout seul" ! Mais avant qu'on ait commencé il y a Monsieur Hakim Ouigo, le chef du train de 12 h 57 qui vient nous chercher !

 

- Venez ! On va vous prendre quand même ! Vous allez voyager gratuitement mais on vous embarque !

 

- Bon ! Retour à la voie 4 ! On monte dans le premier wagon venu et on s'installe sur deux sièges « strapontin » dans le couloir à côté des bagages.

 

Monte un couple avec deux enfants et une poussette et à ce moment-là on entend Madame Ouigo Krachdan-Lemicro qui dit d’un ton sec : « Le train s'arrêtera au Mans, à Laval et à Rennes mais on ne laissera descendre personne. Merci de descendre immédiatement de ce train si vous ne voulez pas vous retrouver à Quimper où vous n'avez que faire ! ».

 

Tout le monde descend. Le père des deux mômes lui est remonté, dans le sens où il est prêt à aller démonter les gens de la Ouigo Railroad Company !

 

On repasse devant la poignée de contrôleurs à l’entrée du quai. Ils en sont presque venus aux mains entre eux tant ils ne comprennent rien, eux non plus, à ce qu'ils doivent ou auraient dû faire.

 

Je vous épargne la suite nos mésaventures – j’ai de quoi faire un autre billet pas gentil ! -. Sachez qu'on n'a pu trouver un train qu'à 17 h et qu'on est rentrés chez nous sur le coup de 20 heures.

 

Ouigo ? Vous, vous faites comme vous voulez mais nous c'est « Plus jamais ! ».

 

***

 

Pour en revenir à Jules Verne je peux juste lui dire une chose : ce n'est pas moi qui entamerai un tour du monde en 80 jours ! Déjà que, au 21e siècle, avec un e-billet et des TGV en veux-tu en voilà on met six heures pour aller de Paris à Rennes !

 

On irait peut-être bien plus vite en montgolfière mais là c'est l'idée de monter dans la nacelle qui m'arrête !

 

Finalement moi ce que je préfère de plus en plus c’est la marche à pied dans Rennes !

 

Pondu à l'Atelier d'écriture de Villejean le 19 mars 2024 d'après la consigne AEV 2324-22 ci-dessous
 

21 mars 2024

Trésors du Musée des Beaux-arts de Lyon vus le 29 février 2024

 

 

Les Mangeurs de ricotta de Vincenzo Campi (Italie 1536-1591) (vers 1581)

 

 

Le Grand canal à Venise (vers 1740) par Bernardo Bellotto (Venise 1721 - Varsovie 1780)

 

 

Le musée des Beaux-Arts de Lyon expose dans une salle dédiée dix-huit tableaux de Louis Janmot (Lyon, 1814-1892). Ils ont été peints entre 1835 et 1855).

Ce tableau-ci intitulé " Le Mauvais sentier" fait terriblement penser à ceux de Paul Delvaux !

En voici un autre qui s'appelle "Le Vol de l'âme".

 

 

Et voici pour terminer un buste de Madame Récamier  par Joseph Chinard (Lyon 1756-1813). Il est très beau mais je préfère cependant son portrait par René Magritte !

 

 

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20 mars 2024

Au carnaval de Rennes le samedi 16 mars 2024 (5)

 

 

 

 

 

 

20 mars 2024

CONSIGNE D'ÉCRITURE 2324-22 DU 19 MARS 2024 A L'ATELIER DE VILLEJEAN

 

Incipits krapoviens

 

 

Les aphorismes ou commentaires ci-dessous sont dus à la plume de Joe Krapov. Ils pourraient très bien constituer des incipits pour un roman, une nouvelle, un texte philosophique…  A vous de jouer et de pondre quelque chose de pas triste à partir de l’une de ces premières phrases :

 

 

Cassandre avait-elle prévu qu'on ne verrait jamais une tapisserie signée Pénélope dans nos musées ?
Sans doute que oui et que personne ne l'a crue - sauf les méandres de la Seine aux Andelys après celle de 1910 ! - et surtout pas Ulysse !

 

***
 

- Ce qui est pas relaxant au-delà de tout c'est, à mon humble avis, de visiter un cimetière et de s'apercevoir qu'on est encore en pyjama ! dit Loreille.
- Moi, répondit Lardu, ça ne m'arrivera pas : la nuit je ne porte que du Chanel n° 5.
- Dans tes cauchemars, je voulais dire, idiot !

 

***
 

Dieu est un concept qui sert à mesurer la peine des Rolling Stones de n'être pas aussi célèbres que les Beatles ou que Jésus ! ;-)

 

***
 

Ne mettons pas toutes les conneries humaines dans le même sac, il y a toujours un maboul chez Homère qui ouvre l'outre d'Éole juste au moment où il faux pas (si je puis écrire les choses ainsi !) ;-)

 

***
 

Peut-on s'en remettre au jugement de Dieu si l'on n'est pas sûr que Dieu ait bien tout son jugement ?

 

***
 

Ici on en apprend de bien bonnes tous les jours ! Ah les belles "fake-news" ! Voilà maintenant que le concerto d'Ajanruez n'est pas d'Aranjuez ! Bientôt on va vouloir nous faire croire que le Boléro de Ravel n'est pas une oeuvre de Mozart !

 

***
 


Jean-Paul Marat / par David : C'est triste de mourir uniquement parce qu'on a refusé d'accorday une danse à Charlotte ! 

 

***
 

Quand on a un ancêtre militaire et qu'on cherche pour savoir si lui aussi avait des ancêtres militaires on dit qu'on fait de la généralogie.

 

***
 

C’est une belle définition de la vie : jouer à des jeux qu’on ne connaît pas avec des gens qu’on ne connaît pas ! A vous de faire en sorte que ça devienne « une bonne partie de plaisir » !

 

***
 

Jules Verne, l'homme du "Voyage en ballon", mettrait aujourd'hui, auprès de SNCF-Connect (Robot le Conquérant !), beaucoup plus de temps à acheter son billet Nantes-Amiens que ne dure le trajet ! 

 

***
 

To feed the birds ! Mary Poppins ! Toute l'économie du monde serait donc orientée vers cette symbiose inconsciente ? Donner des graines aux oiseaux, du pain aux canards et même, involontairement, son sandwich aux goélands ? 

 

***
 

- Des histoires de princesses ? Mais il n'y a rien de plus terrifiant au monde qu'une princesse !
- Si : deux princesses !

 

***
 

Un roi c'est un gars comme un autre. Peut-être que lui va s'asseoir plus souvent que nous sur le trône mais nous, quand on y est, on peut y faire salon de lecture.

 

***
 

Johnny avait compté sur Vanessa pour qu’elle l’emmenât au paradis. Elle ne fit que lui donner une fille, Lily-Rose, qui devint bien plus célèbre qu’eux.

- Cette impudence de la jeunesse, c’est à vous dégoûter de faire de la figuration à Hollywood !

Joe le taxi ne répondit rien. Ce client, il l’avait déjà vu quelque part, mais où ? »

 

***
 

Qui veut noyer son œuf l’accuse d’être arrivé par le cul de la poule. Pareil pour le chagrin d’amour. Qui veut noyer son chagrin d’amour accuse son ex d’avoir choisi un nouveau coq. 

 

***
 

La première fois qu’Aurélien entendit Bérénice chanter en soliste dans l’oratorio, il la trouva réellement, franchement faible. Il s’abstint de le lui avouer car elle était aussi championne olympique du lancer de vitriol pour un oui ou pour un non.

 

***
 

On aura beau faire et beau dire, « azur » ne sera jamais un synonyme de « trépied ». Et pourtant ce jour-là le ciel de Normandie ressemblait à un strapontin : tout gris, manquant de ressort, n’ayant rien à voir avec ceux de Boudin Eugène.

 

***
 

Longtemps je me suis abreuvé, de bonne heure, de la chicorée de l’aube. Dès le petit matin, je broyais du noir. 
 

 

19 mars 2024

Au carnaval de Rennes le samedi 16 mars 2024 (3)

 

Ces photos-ci ont été recadrées de manière à isoler de jolis portraits.

 

 

Danseuse et musicienne du groupe Toucouleurs

 

 

Musiciennes et musiciens du groupe AC Balata

19 mars 2024

Au carnaval de Rennes le samedi 16 mars 2024 (4)

 

- Vous pouvez m'aider ? Je vois bien la clé de sol mais je n'arrive pas à lire les notes qui suivent.

- ...

- Comment ? Vous dites ? OKsortir de la trajectoire ?

 

En tant que "téléspectateur a posteriori", j'ai beaucoup fréquenté grâce aux dévédés ce couple de "Scènes de ménages", Cédric et Marion qui s'interpellaient par "Chaton" et "Poussin". Un autre exemplaire ici ? 

 

 

 

 

18 mars 2024

Au carnaval de Rennes le samedi 16 mars 2024 (1)

 

Finalement, elles ne l'ont pas raté, Isaure Chassériau et Marie Drabutin, le carnaval de Rennes ! Il n'avait lieu que ce samedi après-midi. Avec des départs très étalés des différents groupes de musique et donc une épreuve sportive pour le photographe qui a suivi, remonté, redescendu le défilé du Thabor à la place de la Mairie pendant près de deux heures !

 

 

 

 

Allez donc savoir pourquoi le bagad de Cesson-Sévigné a pris un cochon pour emblème !

 

 

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